Ma réaction à la cérémonie d'ouverture des J.O. 2024 à Paris
Beaucoup d’entre vous ont réagi vivement sur les réseaux sociaux, aux messages explicites et implicites exposés aux yeux de tous, petits et grands, pendant la cérémonie d’ouverture des J.O. 2024 à Paris.
Sur ces mêmes réseaux sociaux, certaines personnes qui se considèrent comme des meneurs spirituels, des guides, des éveilleurs de conscience, ont réagi à leur tour face à l’indignation de leurs followers. Ces personnes bien intentionnées (l’ego spirituel se croit toujours bien intentionné !) ont suggéré à ceux de leurs fans qui se sont sentis outragés, de ne pas se nourrir des événements qui n’apportent que peurs et colère, de cesser de regarder du côté de ceux qui cherchent à nous contrôler et nous écraser, de ne plus regarder les infos, la télévision et les cérémonies organisées par l’Etat et de se tourner plutôt vers la lumière, vers ce qui apporte de la joie et de l’amour.
Mais attention, les plus belles intentions peuvent bien vite nous faire glisser vers la procrastination, voire le mensonge à soi-même. On peut s’enorgueillir facilement d’une attitude soi-disant spirituelle, de type New-age et compagnie, en regardant vers le ciel et en évitant de voir qu’on a toujours les pieds dans la gadoue.
Certes, ce discours semble bienveillant, attentionné et prêché par des personnes averties. Mais je me pose alors la question suivante : si nous, qui sommes vigilants et avertis d’une situation sociétale en pleine décadence, nous nous tournons vers la lumière pour ne plus voir qu’elle et elle seule, afin de la faire grandir et la diffuser partout autour de nous, qu’en est-il des enfants qui ont assisté aux événements avec leurs yeux innocents ? Qu’advient-il de nos adolescents mal dans leur peau qui, manipulés par le jeu pervers du nouvel Ordre établi, de la soi-disant « normalité » politiquement correcte, penseront que pour continuer à se faire accepter par le groupe, il faudra aussi accepter l’inacceptable, intégrer des notions amorales qui ne coïncident pas avec les lois du Vivant ? Allons-nous les laisser idolâtrer le veau d’or ? Sommes-nous partisans du moindre effort au point d’abandonner notre humanité et nos jeunes aux mains du Satan ? Est-ce en tournant le dos à l’ombre pour regarder en direction de la lumière que nous ferons disparaître cette ombre ?
En regardant le soleil, vous ne voyez pas que l’ombre qui est derrière vous est générée par vous-même. Cette ombre, et c’est la loi de la physique, ne disparaîtra que quand le soleil sera au zénith, quand il illuminera chaque recoin de la planète, chaque particule du vivant, chaque cellule de votre corps. Mais temps que vous projetterez votre ombre, vous aurez beau lui tourner le dos, elle n’en sera pas moins présente.
Le problème est que les humains n’ont pas compris que tout ce qui se passe en dehors d’eux et qui ne leur convient pas, n’est qu’une projection de ce qu’ils vivent à l’intérieur d’eux-mêmes. Autant dire que la décadence de notre civilisation est la manifestation extérieure de toute la noirceur de ce qui se vit au sein du psychisme de l’humanité. Nous avons tous la nette impression que cette décadence s’accélère depuis quelques années, que le chaos de notre société est déjà palpable et manifesté. Je dirai que nous assistons en cette période cruciale pour l’humanité, à l’ex-pression ultime de nos blessures les plus profondes, de nos maladies (le mal-a-dit), de nos peurs et nos dysfonctionnements qui sont projetés en dehors de nous pour se manifester à travers ceux de nos dirigeants les plus vils, les plus avides de pouvoir et de contrôle.
Alors quand ces personnes bien intentionnées me proposent de regarder vers la lumière, je dis oui, mais c’est loin d’être suffisant. Si je ne suis pas capable de regarder en moi la cause de ce qui se manifeste dans mon clan, mon environnement, ma société, alors rien ne changera jamais, et l’humanité court à sa perte.
La victoire ne survient jamais après une fuite. Elle survient toujours à l’issue d’un combat. Mais ce combat ne prend pas obligatoirement l’apparence d’une confrontation agressive. Il fait intervenir deux forces opposées puisque nous vivons dans un monde dualiste, et ces forces cohabitent à l’intérieur de nous : l’effort à produire pour la croissance de l’âme, et le maintien dans le confort pour rassurer l’ego. Celui-ci peut se croire spirituel en se tournant vers la lumière, alors que l’âme, notre véritable partie spirituelle, s’est incarnée pour être confrontée aux expériences de la 3ème dimension, pour les vivre pleinement et sans condition, si pénibles et inconfortables soient-elles.
Comment faire pour mener ce combat à sa victoire finale pour que notre humanité évolue vers une société plus harmonieuse ? Non pas en fermant les yeux et en évitant surtout de regarder ce qui dérange et fait mal, pas plus en se gargarisant des informations diffusées par les médias mainstream, mais en accueillant simplement ce qui est là, face à nous, et aussi en nous ; en acceptant ce qui est projeté dans notre réalité et que nous ne pouvons pas changer, et en observant ce que ces événements provoquent en nous : insécurité, colère, indignation, haine, tristesse … Soyons le témoin non pas passif, mais totalement conscient de ce qui se vit en nous, de ce que nous produisons comme émotions en réaction aux noirceurs projetées quotidiennement par l’aura psychique de l’humanité. Le fait d’observer en silence, sans que le mental s’en mêle, tout ce que nous produisons à la périphérie de notre être, renforce notre conscience du Témoin que nous sommes, de notre Être essentiel lumineux qui siège en notre Centre. Nous finissons par nous désidentifier de nos émotions, et il en est de même pour les événements extérieurs qui génèrent ces émotions en nous. Nous apprenons ainsi à nous détacher de tout ce dont nous n’avons plus besoin, de tout ce à quoi nous ne souhaitons plus assister dans notre société. Une nouvelle réalité se dessine progressivement, les événements auparavant redoutés perdent de leur consistance, parce que notre conscience ne s’y attache plus. Si nous sommes sincères avec nous-mêmes, et si nous le faisons avec amour, bienveillance et engagement, c’est la répétition de cet exercice astreignant qui permettra la dissolution de nos zones d’ombre et des forces sombres en action dans notre société. Vous l’aurez compris, il est inutile de chercher la lumière à l’extérieur pour nous donner l’illusion de notre valeur spirituelle. Seul l’engagement vis-à-vis de notre véritable Soi et la volonté de faire un effort de conscientisation nous libérera personnellement et collectivement. C’est notre chemin spirituel à tous.
Nous sommes tous interconnectés car constitués de la même Essence Lumineuse. Nous avons une responsabilité commune, celle de nettoyer et récurer nos zones d’ombre pour qu’enfin la lumière venant de notre Centre illumine nos pensées, nos paroles et nos actes. A chacun de faire son travail d’éboueur personnel pour que notre humanité évacue enfin ses ordures nauséabondes.
La cérémonie d’ouverture des J.O. est venue nous titiller là où il nous reste du ménage à faire ! Si elle a pris la forme d’un scandale, c’est pour nous secouer et nous réveiller. Ne fuyons plus, ne soyons plus sous hypnose, faisons chacun l’effort conscient de regarder en face ce que M… et ses sbires LGBT nous crachent à la figure. Ils sont les agents de notre essor spirituel. C’est bien connu, l’ombre n’est là que pour servir la lumière !
AUDIENCE CHAMBRE DISCIPLINAIRE 2024
Chers amis de toujours,
J'ai été profondément touchée par vos messages d'encouragement, de soutien, de félicitations. J'étais émue aux larmes en les lisant, d'une part parce que j'ai toujours eu plus de mal à recevoir qu'à donner, et aussi parce que cet afflux de pensées pour moi m'a connectée à une forme d'Amour inconditionnel et fait s'effondrer mes dernières barrières de culpabilité. Je vous envoie en retour toute ma gratitude pour ce bel élan collectif.
Voici comment ce sont déroulées les choses en ce jour anniversaire de l'Appel du 18 juin 1940 :
Un enchaînement de synchronicités à fait que quatre membres de ma famille se sont trouvés disponibles pour m'accompagner jusque dans la salle d'audience.
Je me savais également soutenue par vous tous qui avez répondu à mon message.
Dans la salle d'attente, un quiproquo incroyable (merci à ma naïveté et mon sens de la communication) a fait que je me suis mise à parler, sans le savoir, au médecin représentant le CDOM, pensant que c'était une consœur qui comme moi attendait son tour pour être entendue et jugée. Je n'avais pas saisi qu'elle était dans " l'autre camp" et je lui ai souri, échangé quelques mots sympathiques, et cela a dû la déstabiliser. Elle a fini par me dire " vous devriez attendre dans l'autre salle d'attente, parce que je suis considérée comme "la méchante" et la greffière va nous séparer quand elle nous verra ensemble". Même à ces mots, je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire !! J'ai pensé qu'elle était considérée comme "la méchante" par la chambre disciplinaire.
Quand mon tour est venu, j'ai vite compris de quoi il s'agissait !
Malgré l'ambiance un peu tendue dans la salle d'audience, malgré le regard scrutateur de l'un des médecins en toge, j'ai continué à sourire, à garder la tête haute et à regarder mes juges confrères et consœurs droit dans les yeux. Finalement, quand je cherchais leur regard, plus aucun n'a levé la tête vers moi, trop affairés à se plonger dans leurs papiers.
Seul le magistrat (une femme) m'a adressé la parole.
Pendant les premières minutes, l'un des médecins a relu les PV des deux parties adverses. J'en ai profité pour me recentrer. Je suis rentrée en moi, tout en restant dans le moment présent. J'ai élargi mon champ de conscience et me suis adressée à mon Être essentiel et à mes guides de lumière. Je les ai remerciés pour leur présence et leur guidance. Puis je me suis de nouveau centrée sur la réalité 3D pour ne pas perdre le fil de ce qui se racontait sur moi, tout en gardant cette connexion avec une réalité plus large.
A partir de cet instant, la juge a commencé à me poser des questions pour éclairer sa compréhension de la situation. Mes mots sont sortis avec spontanéité, vérité et droiture. C'est comme si quelque chose de plus haut que moi m'avait "soufflé" ce que je devais répondre, et de quelle façon. Le ton ajusté, le timbre clair, la puissance vocale portés par une sorte de force de conviction et de justice ont eu raison de l'acharnement du médecin du CDOM qui se faisait de plus en plus petite, de plus en plus gênée par ses arguments qui ne tenaient pas la route. La juge lui a fait la remarque à plusieurs reprises, et le médecin qui se considérait comme "la méchante" s'est retrouvée dans le rôle de l'accusée, se faisant de plus en plus petite sur son siège, la tête rentrée dans les épaules, se tortillant les doigts autour de son stylo. Elle a même fini par me défendre sur un point, et à reconnu, face à l'insistance du juge, que ses arguments étaient sans valeur.
Mon avocat m'a félicitée. Je me félicite moi-même d'avoir fait le choix de me déplacer à cette audience pour oser affronter mes attaquants. Cela m'a permis de me sentir plus vivante et à ma juste place.
Je ne me considère pas comme une victime, mais plutôt comme l'un des représentants de la Cause juste. En agissant, et en me connectant à plus grand que moi, je fais confiance à la Vie, aux événements et circonstances qui sont là pour me permettre d'exprimer les valeurs que je porte.
Et c'est en restant tous connectés et solidaires que le petit pas que j'ai fait hier nous donnera à tous le courage d'en faire de plus grands demain.
Avec mes sincères remerciements à cette période unique qui nous confronte à qui nous sommes vraiment au fond de nous
Sophie
Appel du 18 juin
Chers tous,
En ce jour anniversaire de l'appel du 18 juin 1940, je suis émerveillée de constater que la Vie se place à mes côtés pour m'accompagner devant la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins. Je m'y rends avec à l'esprit l'idée que je suis fière de faire partie de la Résistance et d'être restée INTEGRE jusqu'au bout en alignant ma prise de position sur mes paroles et mes convictions profondes.
A l'issue de ce procès pour refus de me soumettre à l'obligation vaccinale, je sortirai victorieuse parce que je garderai la tête haute face aux forces sombres qui nous contraignent de plus en plus sur cette planète.
Mais la guerre continue, puisqu'une deuxième plainte d'un autre conseil de l'ordre est tombée à mon encontre il y a 6 semaines. Je me battrai bien sûr jusqu'au bout. J'avais jusqu'ici le combat en horreur, mais je comprends aujourd'hui que c'est le prix à payer pour redonner toute sa place à la droiture et la justice.
Je vous remercie tous pour votre soutien.
Je vous aime
Sophie